Dans un contexte de crise économique, la culture semble être délaissée en Tunisie. Elle représente 0,6% du budget global, selon les derniers chiffres ; le grand musée du Bardo est, d’ailleurs, fermé depuis près de deux ans. Pourtant, Tunis est le théâtre d’un foisonnement culturel. Mais l’écrasante majorité des performances artistiques sont soutenues par des fondations ou par des États étrangers, sans qui l’activité culturelle s’effondrerait. En parallèle, les mécènes tunisiens se multiplient.
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Author: Amira Souilem