Les négociations en vue d’un traité pour mettre fin à la pollution plastique patinent. Les représentants de 175 nations réunis à Paris, au siège de l’Unesco, pour une deuxième session de discussions, se heurtent à un blocage sur les règles d’adoption finales du texte. L’Arabie saoudite, plusieurs pays du Golfe, la Russie, la Chine ou encore l’Inde refusent un vote à la majorité des deux tiers si jamais un consensus n’était pas trouvé. Le temps pour établir les premiers contours d’un accord en est d’autant réduit alors que sur le fond, aussi, deux visions s’opposent. Si rien n’est simple, c’est aussi parce qu’il y a des enjeux économiques.
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Author: Pauline Gleize