En France, durant la pandémie et le confinement, certains travailleurs ont assuré la continuité des services dans l’Hexagone, parmi eux : les croque-morts, appelés aujourd’hui assistants funéraires. Ils ont fait partie des professions les plus exposées. Au plus fort de la crise, il n’y avait plus de place dans les funérariums. Sur ordre du préfet de Paris, les chambres froides alimentaires des marchés de Rungis et de Vissoux ont été réquisitionnées afin de conserver les défunts en attente d’inhumation. Cette période inédite a mis en lumière les métiers funéraires qui d’ordinaire restent dans l’ombre. Julien, chauffeur et porteur funéraire, raconte la fierté de son métier.
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Author: Patricia Lecompte